Les fans de Warhammer 40K peuvent se frotter les mains : Dawn of War 4 a été officialisé à la Gamescom 2025, et autant vous dire que le trailer envoie du lourd. Dans un déluge d’explosions et de bastons épiques, les Space Marines des Blood Ravens mettent la misère aux Necrons, pendant que les Orks et l’Adeptus Mechanicus préparent leur entrée fracassante sur le champ de bataille.
Quatre factions pour foutre le chaos
Pas de changement majeur côté gameplay : on reste sur de la stratégie en temps réel, comme dans les opus précédents. Pas question de jouer les gros bras en TPS façon Space Marine 2, ici on pense tactique, micro-gestion et domination totale.
Vous prendrez les commandes des Blood Ravens, ces Space Marines tout de rouge vêtus, bien différents des Ultramarines bleus qu’on croise ailleurs dans l’univers Warhammer. Ils ne seront pas seuls : l’Adeptus Mechanicus viendra prêter main forte avec son armée de fanatiques mi-hommes mi-machines, qui vénèrent le Dieu-Emperor sous la forme du Omnissiah, divinité des machines.
Les Orks, toujours là pour mettre le dawa avec leurs cris de guerre « WAAAAAGH ! », seront évidemment de la partie. Et pour couronner le tout, les Necrons débarquent avec leur délire d’anciens aliens robotisés bien décidés à remettre la main sur la galaxie, quitte à écraser tout ce qui bouge – humains, Tyranides ou démons du Chaos.
Campagne, multi, Last Stand : le retour des classiques
Chaque faction aura droit à sa propre campagne solo, avec un scénario taillé pour mettre en avant ses forces (et ses tares). Mais si vous êtes plus branché castagne entre potes, pas de panique : le mode escarmouche, le multijoueur compétitif et la coop seront bien au rendez-vous, avec un gros retour apprécié des vétérans : le mode Last Stand, où il faut survivre à des vagues d’ennemis de plus en plus vénères.
Pas encore de date de sortie
Le jeu est pour l’instant prévu uniquement sur PC, sans aucune mention d’une sortie sur consoles. Et niveau calendrier ? Nada pour le moment. Il va falloir patienter encore un peu avant de savoir quand on pourra balancer nos escouades dans la mêlée.